MARIANA MOLTENI
20 avr. 2022
Sud, 2021
Huile sur toile, 60 x 40 cm
Un poste au marche II
2022. Huile sur toile 100 x 100 cm.
Cour, 2021
Acrylique sur toile, 100 x 80 cm
Persistante. 2021
Huile sur toile 100 x 100 cm.
Bordure. 2021
Huile sur toile 82 x 38 cm.
Récolte au jardin, 2020
Acrylique sur toile 110 x 100 cm.
Jardin du soir . 2020
Huile sur toile 110 x 80 cm.
Un poste au marche.
2020 Acrylique sur toile 110 x 80 cm.
Paysage du marché. 2020
Acrylique sur toile 110 x 100 cm.
16 oct. 2020
3 mars 2020
En novembre 2019, Mariana Molteni et Fany Edwin « franchissaient une ligne » en proposant durant une résidence artistique des œuvres destinées à un jeune public.
Ce début d’année marque un nouvel épisode de leur collaboration et présente deux pratiques différentes qui dialoguent sur une thématique commune : « Bonne année du Rat ».Que nous réserve cette année ? Sera-t-elle « Bonne » ?
Placée sous le signe du « Rat de Métal », l’astrologie chinoise prévoit un renouveau : « Reposé et revitalisé, le Rat accélèrera le déroulement de tous les évènements, mais son influence provoquera du stress et des tensions dans la vie quotidienne. L’année 2020 sera une période positive sur le plan financier et un peu moins paisible en ce qui concerne la santé. »
C’est sur ce dernier point que les deux artistes décident de travailler : « l’humain et sa santé ».
Les cancers, le diabète, les lombalgies, les maladies cardio-vasculaires, la dépression, le stress, les troubles musculosquelettiques, pour ne citer que ceux-là, sont les maux du XXIe siècle. Si les progrès scientifiques réalisés durant, ont permis à la médecine de guérir de nombreuses maladies, il n’en reste pas moins qu’un bon nombre est difficile à éradiquer.
Fin 2019, un nouveau virus jusqu’ici inconnu fait son apparition coronavirus dit COVID-19. À ce jour, cette grippe virulente continue sa conquête sur les cinq continents.
Leurs regards artistiques
Cette exposition est l’occasion pour Mariana Molteni de travailler à nouveau la matière qui prolifère tels des virus. Le fil de fer, le papier mâché, les fils sont exploités. Son œuvre donne vie à des étranges cellules difformes soigneusement tissées, assemblées, et très colorées.
Fany Edwin montre une série de son propre visage moulé avec des expressions différentes. En ajoutant des techniques mixtes, linogravure, collage, assemblage, elle aborde le mal-être à travers trois maladies du siècle : le coronavirus, la névralgie cervico-brachiale et les réseaux sociaux.
Texte: Fany Edwin
30 sept. 2018
8 nov. 2017
Residence "Centre Intermondes" La Rochelle
Mon travail prend source à la confluence des cultures latino-américaine,
pacifique et européenne. L'union de ces héritages m'a conduit à mêler les
techniques, les matériaux. La sculpture et la peinture. De cet entrelacement de
pratiques naissent un végétal sauvage, tel une construction architectonique, voir
anarchique. Tout se balance dans un mouvement d'ombres et de lumières, de
formes et de couleurs.
Ces racines se sont aussi mes grand-mères, italiennes venues en Argentine, qui
brodaient. Un fil qui tisse, qui lie le mélange culturel qui m'ahabite. Ce sont aussi
mes voyages, qui empruntent des paysages végétaux, les éléments à assembler, à
sculpter, à peindre. Un rhizome qui se nourrit de toutes ces identités singulières.
Racines est le rendu d'une immersion créative le temps d'une résidence au centre
InterMonde.